Choeur, cuivres et timbale. Direction : Olivier Delafosse
Odes pour les Funérailles de la Reine Mary
Choeur a cappella. Direction : Olivier Delafosse
Gasparini
Bortnianski
Orchestre. Direction : François Feuillette
Petite Symphonie
Choeur et orchestre. Direction : François Feuillette
Dès 14 ans il est l'assistant du chef de la chapelle royale avant de devenir compositeur "ordinaire" pour les violons à la cour d'Angleterre.
En 1689, il est responsable de la musique pour le couronnement du roi Guillaume III.
Le service du roi lui imposait de composer de nombreuses odes d'apparat, souvent sur de médiocres poésies et malgré cela, il parvient à rehausser de son art les insignifiantes flatteries des poètes courtisans.
Chaque printemps, pendant 6 ans, il écrira ainsi une ode pour l'anniversaire de la reine Mary, épouse de Guillaume III.
A la mort de celle-ci, Purcell lui dédie une dernière ode ainsi que cette "Musique pour les funérailles" qui sera donnée le jour de son enterrement le 5 mars 1965 à Londres.
Cette oeuvre se compose de 7 mouvements alternant les pièces vocales et instrumentales (2 trompettes, 2 trombones, 1 timbale).
Les textes sont tirés des Saintes Écritures.
Durant son séjour à la Villa Médicis, Charles Gounod montre un intérêt égal à la musique italienne et à la musique allemande.
Gounod quitte Rome et passe à Vienne, Prague, Dresde, Berlin et Leipzig.
Il découvre Bach grâce à Mendelssohn.
C'est évidemment avec l'opéra Faust qu'il obtient la notoriété en 1859.
La Petite Symphonie a été composée en 1888, époque où il cherchait à exprimer le mysticisme qui l'obsédait par les oratorios et la musique sacrée.
L'effectif instrumental se compose de : 1 flûte, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 cors, 2 bassons.
Begräbnisgesang, "Le chant des funérailles" fut écrit en 1858.
C'est une oeuvre bouleversante où l'imagination de Brahms s'enflamme devant les thèmes éternels de la mort et de la résurrection.
Brahms affiche ici ses convictions : résignation devant la mort, sereine comme le sommeil, interrogation sur le but ultime de la vie, confiance en la miséricorde divine.
A bien des égards, par son refus de tout sentimentalisme, cette oeuvre renoue avec une tradition protestante éteinte depuis Jean Sébastien Bach.
Le texte est un poème de Michael Weisse, extrait du "Livre de chants des frères de Bohême".
L'effectif instrumental se compose de : 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 2 cors, 3 trombones, 1 tuba.