Mardi 23 mai 2000
John DRYDEN
or the British Worthy
Le Roi Arthur
ou le valeureux Breton
GROUPE VOCAL CADENCES
LE PETIT THÉÂTRE DE BOULARD
De Voisins-le-Bretonneux
Direction scénique : Delphine DELAFOSSE
A dramatic opéra
Livret de John DRYDEN (1631-1700)
Mise en espace, scénographie, conception et réalisation des marionnettes : Delphine DELAFOSSE
Merlin, célèbre enchanteur : Yves LE RUMEURE
Osmond, magicien saxon : Dominique SERVAIS
Mathilde, suivante d’Emmeline : Delphine DELAFOSSE
Philidel, esprit de l’air : Olga PITARCH
Grimbald, esprit de la terre : Bernard ARRIETA
Arthur, roi des Bretons, chrétien, manipulé par Yves LE RUMEURE
Oswald, roi des Saxons, païen, manipulé par Dominique SERVAIS
Emmeline, fille de Conon, amante d’Arthur, manipulée par Delphine DELAFOSSE
Conon, duc de Cornouailles, vassal d’Arthur
Guerriers saxons sacrifiés
Soldats
Philidel, Honneur, la Néréide, une Bergère, une Sirène : Olga PITARCH, soprano
Cupidon, Vénus, une Nymphe, une Bergère, une Sirène : Julie HASSLER, soprano
Comus, un Berger, un Sylvain : Etienne VANDIER, ténor
Grimbald, le Génie du Froid, Pan, Eole : Bernard ARRIETA, baryton
Soldats saxons et bretons, Prêtres saxons, Esprits de Philidel et Esprits de Grimbald, Peuple du Froid, Bergers, Nymphes, Sylvains : Groupe Vocal Cadences
Technique
Réalisation du décor : Mireille et Michel AVOT, Annie SERVAIS
KING ARTHUR n’est ni une simple pièce de théâtre, ni un réel opéra. L’auteur du texte, le poète anglais John Dryden , qualifie son œuvre de " dramatic opéra ". Cela signifie une pièce de théâtre mise en musique, réunissant trois arts : Musique, Drame et Ballets. L’œuvre respecte la convention de la Restauration qui veut que les personnages principaux parlent mais ne chantent pas. Cependant, les esprits Philidel et Grimbald, qui font les deux, assurent le lien entre les mondes séparés de la musique et du théâtre.
Le roi Arthur a-t-il existé ? La réponse n’est pas simple. Il appartient au mythe plus encore qu’à l’histoire. Mais d’innombrables textes latins, français, hispaniques, italiens, gallois, anglais, tchèques, russes conservent le souvenir du roi fabuleux des Bretons.
L’intrigue ne ressemble guère à aucun des romans populaires et des légendes de Camelot, et le public moderne qui s’attend à rencontrer Guenièvre, Lancelot, le Saint-Graal et les chevaliers de la Table Ronde sera déçu. Seul rescapé de la légende arthurienne, Merlin l’enchanteur, devenu un magicien au service des forces du Bien. L’œuvre de Purcell nous présente l’histoire d’Arthur dans sa quête d’une Bretagne unifiée, avec une action centrée autour d’Emmeline, fiancée aveugle d’Arthur, autrefois courtisée par Oswald, roi saxon du Kent. Après avoir été vaincu par les Bretons, Oswald enlève Emmeline et le reste de l’intrigue concerne les efforts d’Arthur pour la délivrer. Dryden avait sans doute conçu l’histoire comme une allégorie devant favoriser la réconciliation désirée du duc de York, catholique (le futur Jacques II) et du duc de Monmouth, protestant. Cette réconciliation n’eut jamais lieu, car Monmouth fut exécuté peu après l’accession au trône de Jacques II. Lorsque l’opéra fut enfin représenté en 1691, la Grande-Bretagne avait un nouveau roi. Dryden révisa alors l’œuvre afin qu’Arthur puisse être identifié à Guillaume III. Mais, peu enthousiaste envers ce nouveau roi hollandais, l’aspect excessivement patriotique qu’il donne à l’œuvre est souvent ironique.
Passé l’engouement du XVIIIe siècle, KING ARTHUR n’a connu que peu de mise en scène. Au XXe siècle, la musique de Purcell reste connue sous la forme de concerts, tandis que le " dramatic opéra " de Dryden et Purcell est tombé dans l’oubli, à quelques trop rares exceptions. Notre objectif a été de présenter l’œuvre sous la forme la plus complète possible. Ainsi avons nous adapté la distribution en la simplifiant tout en conservant la partie musicale (solistes, chœur, orchestre) et la partie dramatique (comédiens et marionnettes) agrémentées d’effets sonores extérieurs proposés dans le drame (bruits de batailles, appels…).
Olivier Delafosse
" Musique et poésie ont toujours été reconnues comme sœurs, qui vont main dans la main. Comme la poésie est l’harmonie des mots, la musique est celle des notes. Toutes deux excellent en leurs domaines mais elles n’approchent jamais davantage la perfection que lorsqu’elles sont unies : ensemble, elles apparaissent comme la beauté et l’esprit dans une même personne. "
Henry Purcell
Un conte où se rencontrent musique, chant et verbe, et où les parties chantées semblent secondaires, si l’on se place dans l’optique de suivre et de comprendre l’intrigue. Elles ne font en effet absolument pas avancer celle-ci, ni ne l’éclairent. Elles sont davantage des moments d’ornements qui offrent parfois la dimension spectaculaire et dramatique d’une scène.
Si l’on veut raconter l’intrigue des aventures d’Arthur, il s’avère nécessaire d’avoir recours au jeu et à des éléments scéniques. D’où l’idée d’utiliser des marionnettes et des acteurs, les premières étant manipulées par les seconds, eux-mêmes personnages actifs de l’histoire. Ici, les " héros " Arthur, Oswald, Emmeline et Conon sont des marionnettes, et les personnages " secondaires " des acteurs : Merlin, Osmond, Mathilde et les sorciers saxons. Paradoxal, me direz-vous, que les héros soient plus petits que les personnages à leur service ! J’aime l’idée que Arthur, Oswald et Emmeline, bien que héros, ne soient que des figures. Si l’on se réfère toujours à la lecture, les uns et les autres apparaissent, d’une certaine manière, faibles. Ils agissent sous l’impulsion de leur désir, de leur haine et sont aveuglés par ceux-ci ou par leur cécité. Ils sont instinctifs, naïfs et de ce fait manipulés (au sens propre et figuré) par leurs subordonnés. Ce sont eux en effet qui les guident dans la nuit des charmes et des sortilèges de l’adversaire, qui les guettent à chaque instant. Ce sont eux qui déjouent et créent les pièges qui leur permettent d’avancer et d’atteindre leur quête. Sans eux, ils ne seraient rien. Les héros ont le cœur, les personnages secondaires l’esprit. Ce sont ces derniers qui ont le pouvoir !
Cette confrontation acteur / marionnette, grand / petit, permet de mettre en évidence de manière concrète l’influence des uns sur les autres et la dimension magique de leur relation. Et c’est là que la véritable magie s’opère, que le parti pris nous dépasse, quand les marionnettes, ces êtres de petite taille, inertes, sous l’impulsion de la vie insufflée par Merlin, Osmond et Mathilde, deviennent le temps d’un éclair plus grands qu’eux, dans le geste d’une main minuscule posée sur une main humaine ou sur un visage. Nous voyons alors qui sont les véritables héros, nous sommes assujettis au charme de ces êtres " enfants ", alors que nous pensions les manipuler totalement.
Delphine Delafosse
-Et quel avantage cette poupée aurait-elle sur les danseurs vivants ?
-Quel avantage ? Elle ne ferait jamais de manières. Car l’affectation apparaît au moment où l’âme se trouve en un point tout autre que le centre de gravité du mouvement. Et comme le machiniste ne dispose, par l’intermédiaire du fil de fer ou de la ficelle, pas d’un autre point que celui-ci, les membres sont comme ils doivent être, morts, de simples pendules, et se soumettent à la seule loi de la pesanteur, une propriété merveilleuse qu’on chercherait en vain chez la plupart de nos danseurs. De telles erreurs sont inévitables depuis que nous avons mangé du fruit de l’Arbre de la Connaissance. Mais le Paradis est verrouillé, et le Chérubin à nos trousses. Il nous faudrait donc faire le tour du monde pour voir s’il n’est peut-être pas rouvert par derrière.
Il est vrai, pensai-je, que l’esprit ne saurait se tromper là où il n’existe pas. Comme les elfes, les poupées n’ont besoin du sol que pour le frôler et réanimer l’envolée de leurs membres par cet arrêt momentané.
Je lui dis qu’il ne me ferait jamais croire qu’il puisse y avoir plus de grâce dans un mannequin mécanique que dans la structure du corps humain.
Il répondit qu’il était absolument impossible à l’homme d’y rejoindre un tant soit peu le mannequin, que seul un dieu pourrait, dans ce domaine, se mesurer à la matière, et que c’était là le point où les deux extrémités du monde circulaire venaient se retrouver.
Je lui dis que je savais fort bien quels désordres la conscience provoque dans la grâce naturelle de l’homme.
-Ainsi, mon excellent ami, me dit-il, nous voyons que, dans le monde organique, plus la réflexion paraît faible et obscure, plus la grâce est souveraine et rayonnante.
Heinrich von Kleist
Acte I Scène du sacrifice au temple
saxon
Chant de victoire des Bretons
Acte II Philidel guide les Bretons dans la
nuit
Divertissement pastoral
Acte III Masque du Froid
Acte IV Divertissement des sortilèges
Acte V Masque final
Acte I
Sous la conduite du roi Arthur, les Bretons, aidés par le
magicien Merlin, ont repoussé les Saxons jusqu’au Kent.
Ils se préparent au combat final. Arthur prend congé de
sa fiancée aveugle, Emmeline. Pendant ce temps, le roi saxon
Oswald, avec le magicien Osmond et l’esprit maléfique
Grimbald se préparent à la bataille par des sacrifices
animaux et humains.
La victoire est emportée par les Bretons qui
célèbrent leur triomphe.
Acte II
L’esprit Philidel a fuit le service d’Osmond afin
d’assurer son salut. Merlin lui propose de protéger les
Bretons contre les forces du Mal. Grimbald, déguisé en
berger, tente d’égarer les Bretons à la poursuite
d’Oswald en fuite, mais Philidel les protège.
Pendant ce temps, Emmeline, attendant Arthur, est divertie par des
bergers et des bergères. Oswald enlève Emmeline. Arthur
lui propose son royaume en retour de sa fiancée mais Oswald
refuse. Arthur en appelle alors aux armes.
Acte III
Les Bretons tentent de secourir Emmeline par la force, mais sont
victimes des sortilèges d’Osmond. Merlin traverse la
forêt magique pour aller guérir Emmeline de sa
cécité. Au même moment, Philidel réussit
à immobiliser Grimbald mais ne peut libérer Emmeline.
Osmond tente de la reconquérir en lui montrant un masque
évoquant le pouvoir de l’amour pour dégeler les
peuples glacés.
Acte IV
Merlin conduit Arthur dans la forêt enchantée, le
mettant en garde contre ses dangers. Après quelques
hésitations, il résiste à la tentation de deux
sirènes surgissant de la rivière, aux Nymphes et aux
Sylvains. Arthur croit reconnaître la voix d’Emmeline
lorsqu’il frappe de son épée le tronc d’un
arbre. Mais Philidel intervient, lui montrant qu’il
s’agissait de Grimbald voulant le tromper.
Acte V
Les Bretons réussissent enfin à prendre le
château d’Oswald. Celui-ci se bat en duel contre Arthur
qui sort vainqueur du combat. Arthur et Emmeline sont réunis.
On assiste alors à un masque mis en scène par Merlin,
célébrant la richesse et les amours de l’île
lorsque Bretons et Saxons ne feront plus qu’un seul peuple. On
aperçoit ainsi Eole, Britannia, Vénus et Honneur.
Arthur jure d’être le valeureux ancêtre des Bretons
à venir.
Olivier DELAFOSSE
Né en 1970, il obtient au Conservatoire National de Région de Lille ses premiers prix de formation musicale, hautbois, musique de chambre et écriture.
Il étudie le chant, la direction de chœur et participe à la création de l’Atelier Choral du CNR de Lille que dirige Michel Piquemal puis Michel Lasserre de Rozel dont il devient chef-assistant.
Comme chanteur, il sera engagé pour les tournées européennes du Chœur Mondial des Jeunes (World Youth Choir). En 1994, il entre au CNIPAL de Marseille (formation professionnelle d’artistes lyriques) où il travaille notamment avec Alain Garichot (direction d’acteurs), Werner Diez (expression corporelle) et Benoit Amy de la Bretèque (technique vocale). Par la suite, il étudie le chant avec Marie-Claire Cottin.
Il se produit actuellement avec différents ensembles vocaux professionnels dont l’Ensemble Vocal Michel Piquemal, Musicatreize, Akadémia.
Diplômé de direction de chœur du CNR de Boulogne-Billancourt, il termine actuellement la classe supérieure de direction de chœur au CNR d’Aubervilliers avec Pierre Cao et Catherine Simonpiétri, et dirige le Groupe Vocal Cadences.
Delphine DELAFOSSE
Née à Lille, elle a étudié le théâtre au conservatoire de Clermont-Ferrand et à l’Embarcadère, Centre Régional de Formation aux Arts et Techniques du Spectacle, de Besançon.
En 1996, elle crée à Besançon la compagnie LTS avec laquelle elle monte " Les Trois Sœurs " et " La Mouette " de A.Tchekhov.
Depuis 1999, elle travaille avec Jean Louis Vuillermoz, auteur dramatique de Franche-Comté.
Comme marionnettiste, elle a suivi les formations de Jean Louis Heckel (théâtre d’objet) et de Rézo Gabriazé, marionnettiste géorgien.
En 1999, elle a conçu et réalisé son premier spectacle de marionnettes " Hilda, la fiancée de la mer ".
Olga PITARCH
Elle fait ses études musicales au Conservatoire Supérieur de Musique de Valencia (Espagne), où elle est diplômée de piano et de chant (classe de Ana-Luisa Chova), puis à la Musikhochschule de Vienne (Autriche) avec H. Lazarska, M. Temme et N. Shetler.
Lauréate de plusieurs concours nationaux ( Jeunesses Musicales 1991, concours d’opéra E. Marco 1994), elle se produit en soliste lors de nombreux récitals et productions d’opéra dont dernièrement " La Didone " de Cavalli et " Artaserse " de Terradellas dirigés par C. Rousset, " L’Orféo ", " Le couronnement de Poppée " et " Le retour d’Ulysse dans sa patrie " de Monteverdi dirigés par J.C. Malgoire.
Elle se produit également avec différents ensembles : La Romanesca, Il Dolcimelo, La Bergamasca, Le Parlement de Musique, Les Jeunes Solistes et La Capella de Ministrers avec laquelle elle effectue plusieurs tournées à l’étranger (Italie, Argentine, Mexique, Chili) ainsi que des enregistrements de musique baroque espagnole.
Julie HASSLER
Après des études musicales au conservatoire de Montpellier dans les classes de basson, de percussion, d’écriture et de chant, elle perfectionne sa technique vocale à Paris notamment auprès de Richard Miller. Depuis, elle s’est spécialisée dans l’interprétation de la musique ancienne au Conservatoire National de Région de Paris et au Studio Baroque de Versailles.
Elle se produit régulièrement avec le Concert Spirituel (Hervé Niquet), Les Musiciens du Louvre (Marc Minkowski), La Chapelle Royale (Philippe Herreweghe) et La Grande Ecurie et la Chambre du Roy (Jean Claude Malgoire).
Avec Jean Claude Malgoire, elle a chanté " La fille de Jephté " de Carissimi et la nymphe de la Seine dans " Alceste " de Lully. Au côté d’Howard Crook elle a interprété Andromède dans " Persée " de Lully au Festival d’Ambronay 1997.
Etienne VANDIER
Après des études d’écriture au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris où il obtient deux premiers prix en 1988, il étudie le chant avec Marie-Claire Cottin à l’école Nationale de L’haÿ-les-Roses où il obtient une médaille d’or en 1996 et suit l’enseignement de Richard Miller aux cours de classes de maître à Paris et Salzbourg.
Titulaire des Certificats d’Aptitudes de directeur et de professeur chargé de direction, il dirige actuellement le conservatoire de Massy (91).
Sa carrière de chanteur le mène à participer à de nombreux ensembles vocaux professionnels (Ensemble Vocal Michel Piquemal, le Concert Spirituel, Lumen de Lumine, Accentus, le Parlement de Musique).
En soliste, il se spécialise dans l’oratorio et le lied sous la direction de Michel Piquemal, Pierre Calmelet, Renaud François, Didier Louis, Rachid Safir, Dominique Rouits.
Bernard ARRIETA
Né en 1972, il commence ses études musicales à Saint-Sébastien (Espagne) et prépare en parallèle un DEUG de chimie qu’il obtient en 1995. Sa participation au sein de l’Orfeon Donostiarra lui permet de participer à des concerts sous la direction de chefs comme Michel Plasson, Marek Janowski ou Sir Yehudi Menuhin.
En septembre 1996, il intègre la Maîtrise du Centre de Musique Baroque de Versailles, sous la direction d’Olivier Schneebeli. Durant sa formation à la maîtrise, il a l’opportunité de se produire de nombreuses fois comme soliste, et travaille sous la direction de chefs aussi prestigieux que Tom Koopman, Martin Gester, Christophe Rousset ou Jean Claude Malgoire.
Depuis septembre 1999, il poursuit ses études de chant au CNSMD de Paris dans la classe de Glenn Chambers où il a eu la possibilité de chanter le rôle de Testo du " Combatimento di Tancredi e Clorinda " de Monteverdi, sous la direction d’Emmanuelle Haïm.
Le GROUPE VOCAL CADENCES
Il s’est constitué en 1983 à Voisins le Bretonneux. Il est dirigé depuis 1997 par Olivier Delafosse et réunit actuellement une quarantaine de choristes amateurs qui partagent le même souhait de qualité dans le répertoire choral, encadrés et accompagnés par de jeunes musiciens professionnels.
Ne souhaitant pas se spécialiser, son répertoire varie selon les saisons, de la musique baroque jusqu’au milieu du XXème siècle.
Soucieux de rencontres et d’échanges avec d’autres ensembles musicaux, le Groupe Vocal Cadences a interprété dernièrement la Messe en Sib Majeur de F. Schubert avec l’Ensemble Orchestral de Saint Quentin en Yvelines, " Véronique " de A. Messager en version de concert et aussi les Nocturnes de W.A. Mozart avec le Trio di Bassetto.
Ses concerts sont également l’occasion d’entendre d’autres musiciens comme l’ensemble Coupolyphonie de Charenton, la soprano Jocelyne Lucas ou la pianiste Catherine Rebours.
L’ECOLE de MUSIQUE de VOISINS
Créée en 1985, cette association s’est fixée comme mission de développer la pratique musicale amateur tant individuelle que collective. Elle est actuellement dirigée par Eric Lorho.
260 élèves fréquentent quotidiennement les cours de formation musicale, d’instruments ainsi que les diverses formations de musiques d’ensembles, Orchestre initiation, Ensemble cordes, Harmonie et Big Band Jazz. Ils sont encadrés par une équipe de 24 professeurs diplômés d’Etat ou titulaires de la Fonction Publique Territoriale.
Professeurs et élèves se produisent fréquemment lors de diverses manifestations organisées par la ville de Voisins le Bretonneux ou sur la ville nouvelle de St Quentin-en-Yvelines (gala de l’école de cirque de Voisins, Dimanches à la campagne, scènes ouvertes à St Quentin, autour des cordes avec la Médiathèque St Exupéry…)
Remerciements aux membres du Groupe Vocal CADENCES qui ont participé très activement à la réalisation de ce projet, ainsi qu’à Vincent Tavernier, Eve Morainville, Laurence Bougeot, Bertrand Saulnier, Monsieur et Madame Cosler.